Nom : travers, famille formatée, connue, désenchantée, loin de sa gloire d'antan. essayant de redorer son blason, malgré l'erreur de certains, voulant trop ressasser le passé. Prénom(s) : zita, prénom d'une impératrice, comme si on espérait qu'elle puisse aider à remettre un peu de doré dans l'histoire de sa famille. Date et lieu de naissance : heureusement, elle n'est pas arrivée le jour des blagues continuelle, elle a réussi à attendre quelques jours encore, née le 05 avril 2001 à Londres. Nationalité : anglaise, même si elle pourrait se permettre de demander la double nationalité hongroise, mais cela ne l'intéresse pas, elle n'a jamais vécu dans le pays de sa mère. Ancienne école et année d'acquisition des ASPIC (ou équivalent) : à peine sortie de poudlard qu'elle se retrouve aspirée par de nouvelle études, elle a acquises ses ASPIC en juillet 2019 Cursus : première année de flemme, parce que le sport c'est sacré et que si elle peut éviter de se retrouver dans le même domaine que son père, c'est pas que mais les créatures magiques c'est un peu dégueu. Confrérie : impulsivité oblige, même si elle aurait pu finir dans au moins une autre confrérie, c'est bien celle de tormaigh qui carambouilleur dans ses rangs. Sang : quelle question stupide, comme si les siens allaient prendre le risque de perdre la pureté de leur sang, elle est bien évidemment de sang-pur comme les autres membres de sa famille. malgré son grand-père en prison, ils ne lâcheront pas certaines traditions. Baguette : bois de prunellier, crin de licorne, souple, de 26 centimètres. Épouvantard : si elle n'a pas beaucoup de craintes, il y en a bien une qui la fait frissonner dès qu'elle entend des bruissements d'ailes. son épouvantard prend la forme une armée d'oiseaux l'attaquant. Patronus : une lionne.
Ici, votre histoire, qui doit faire au minimum 500 mots. Vous pouvez la faire sous forme de RP, de récit, de journal, à vous de voir.
manoir travers, 2011
« Zita ? » La petite sorcière lève la tête vers son petit frère qui cherche son attention. Sourire se voulant rassurant, remarquant les yeux rougis qu’il possède. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Elle veut le réconforter, c’est son rôle en tant qu’aînée, elle le sait très bien. On attend d’elle ce sérieux auprès de ses cadets. Même si cela peut l’ennuyer parfois qu’un petit être de trois ans débarque dans sa chambre en pleur simplement parce qu’un autre lui a volé un balai miniature. Elle roule des yeux en le câlinant, prête à aller remonter les bretelles de ses deux autres frères. Pour l’instant, sur les quatre enfants, elle se retrouvait être la seule fille, mais cela ne l’ennuyait pas, elle ne tarderait pas à quitter le manoir pour retrouver Poudlard. Elle part donc à la recherche des deux autres petits monstres, pour les réprimander. Ses parents travaillaient tous les deux, pensant qu’elle était assez grande pour s’occuper des trois autres seule. Il fallait qu’elle évite que la demeure familiale explose. Une fois dans la chambre du petit dernier, elle se mets à soupirer en voyant l’état du capharnaüm qu’ils ont créés, son côté maniaque est en train de rugir en elle. « Les garçons il est temps de rendre son balai à Eoin et de commencer à ranger cette chambre avant que Papa et Maman rentrent. »
parc de poudlard, 2017
L’ennui se fait ressentir lorsqu’elle regarde la Yaxley en se demandant ce qu’elle compte faire. Si celle-ci compte la rejoindre un jour ou non, la patiente de la Travers est bien souvent mis à tout épreuve par sa meilleure amie. Et pourtant, elle peut se permettre de dire que pour la blonde elle fait des efforts. Sauf qu’elle l’attendait depuis plus d’une heure et elle commençait à se dire qu’elle la laisserait plantée là. La poufsouffle abusait parfois, néanmoins elle reste encore Zita, elle pianote une mélodie sur son carnet pour se détendre, prenant un rythme avec son pied droit, comme pour faire passer le temps plus vite. Ce qui fait qu’elle observe ce qui se passe dans le parc, regardant les élèves aller et venir, alors qu’elle était assise dans l’herbe. Même si elle se fiche bien de ce que font les gens, connaître quelques secrets peut toujours servir, sait-on jamais. Le chantage n’était pas une chose qu’elle appréciait, pourtant elle était tout à fait capable de l’utiliser lorsqu’il le fait. Elle regardait au loin vers le château lorsqu’une silhouette qu’elle reconnaîtrait toujours arrivait vers elle. Elle soupire Zita en se levant, elle ne voulait pas rester là, plus maintenant. Laissant Luce s’approcher elle la regarde d’un air presque déçu « C’est à cette heure là que t’arrive, me sort pas d’excuse toute faite hein. Faut que j’aille réviser, tu sais les BUSES vont pas tarder à arriver. » Elle la laisse là, partant rejoindre le château bien trop énervée qu’elle ait encore oublié qu’elles devaient se voir.
manoir travers, dans le parc, 2018
« Aller continue tu peux le faire encore mieux ! » Elle persiste la jeune sorcière, parce qu'elle ne veut pas le décevoir. Pour une fois qu'elle passe un moment tranquille sans ses cadets au manoir, en plus pour jouer s'entraîner et apprendre à se battre c'est encore mieux. Elle avait supplié son père il y a plusieurs années pour que son parrain et oncle paternel puisse lui enseigner certaines petites choses. Étonnement, il appréciait autant se battre à main nue qu'avec une baguette, ce dont sa filleule semblait avoir hérité. Et surtout de son entêtement à ne jamais rien lâcher, même lorsqu'elle a du mal. Ce n'est pas son genre de lâcher parce que cela semble impossible. Ce n'était pas un mot acceptable chez les Travers. Sauf qu'elle se retrouvait bien trop souvent à terre ses derniers temps la petite brune. Il ne lâchait pas et ne la laissait jamais gagner, donc elle se retrouvait souvent au sol en râlant. Cependant, elle se relève Zita et retourne à la charge quitte à se faire balancer de nouveau. Elle était incapable d'admettre qu'elle ne le battrait pas ce jour-là, foutue fierté mal placée.
manoir travers, 2019
« Mais Papa... » Elle regarde son père d’un air presque suppliant, elle ne veut pas y aller, il pense que c’est une bonne chose, pour eux pour leur famille, pour son avenir, pour celui de leurs affaire. Sauf que Zita n’est pas enchantée de partir à Ardfry, comme si cela allait changer le monde, qu'elle aille directement dans cette université. Elle voulait partir découvrir le monde, pas se retrouvée de nouveau enfermée dans une école. D'autant plus que tout le monde savait ce que son oncle avait fait et ça elle ne pouvait pas le maîtriser. « Je suis certaine que tout le monde va demander si je sais pourquoi il a fait ça ! » Elle est catégorique, elle ne veut pas partir, elle le montre bien, elle se ferme, croise les bras, alors qu’elle remarque que son père commence à s’impatienter. Il est bien rare qu’elle ne veuille pas obéir de cette manière, qu’elle lui fasse face. Ils sont proches tous les deux, elle adore son père, ne l’a jamais caché, mais sur ce coup elle était complètement désemparée. « Tu iras dans cette université, un point c’est tout. Je ne te paierais pas un voyage à l'autre bout du monde ! » Elle soupire, elle sait qu’elle n’a pas le choix, mais elle ne veut pas lâcher, partir, aussi loin. « Tu ne sera pas seule, tes amies iront certainement. » Elle roule des yeux, elle ne veut pas partir, il ne peut pas le comprendre ? Apparemment pas, elle s’éloigne en repartant en direction de sa chambre. « Où est-ce que tu pars ? » « Dans ma chambre ou bien ça aussi c’est toi qui doit le décider ? » L’insolence dont elle fait preuve l’étonne elle même lorsqu’elle croise le regard déçu de son paternel, il ne réagit pas, mais elle sent presque autant que lui ce qu’il ressent. Et sait parfaitement qu’il lui en veut pour lui avoir répondu. Donc elle part le plus rapidement possible en direction de sa chambre « Zita ? » « Pas maintenant Nora ! » Elle est sèche avec sa petite soeur, mais elle n’a pas envie d’être ennuyée, elle ferme la porte de sa chambre et s’enferme, loin d’être prête à faire ses malles.